KITEFORUM.CA

Baie des Brises a besoin de votre aide.

Nous avons créé un site web pour rapporter les commentaires des gens car la municipalité vient de retirer le mince filet de sécurité qu'on avait face aux bateaux moteurs. La ville a effectivement retiré la semaine passée les bouées qui indiquaient la zone de baignade, mais elle a laissé les 36 blocs de ciment carrés mangeurs de pieds au fond du lac ....

Déjà hier (mardi) les bateaux étaient ancrés presqu'au bord ....

Merci de prendre 2 minutes pour ajouter vos commentaires ici:
https://baiedesbrises.wordpress.com/2016/07/24/la-bouee-est-morte/#comments

Le plus de commentaires qu'on aura meilleur sera notre poids face à la ville qui ne veut rien faire pour les baigneurs et les accès au lac.

Merci de votre aide !

Decidement la municipalité n'a aucun bon sens a BDB.
Et franchement est ce que notre parole aura du poids face a la municipalité et aux riverains pour avoir un acces a l'eau ( on s'entends pour aller kiter ), ca j'en suis pas certain

Zanzibar c'est vrai? Shit vraiment des incompétants... La municipalité vient d'enragé ses payeurs de taxes...!!! Ça va finir mal!!!

Ça ne concerne que les quelques résidents qui pratiquent le kite donc 5 ou 6 personnes. Pour le reste de la communauté, pourquoi demandé de l'aide puisqu'il n'y a aucun accès possible?

De mémoire les riverains ont demandé la fermeture de la Zino nautique, je me demande pourquoi ils auraient maintenant besoin de la signature des kiteux

FurImmerKite a écrit:De mémoire les riverains ont demandé la fermeture de la Zino nautique, je me demande pourquoi ils auraient maintenant besoin de la signature des kiteux

J'osais pas le dire.

tomahack a écrit:

FurImmerKite a écrit:De mémoire les riverains ont demandé la fermeture de la Zino nautique, je me demande pourquoi ils auraient maintenant besoin de la signature des kiteux

J'osais pas le dire.

C'était ça ou je me taise à jamais

moi, j y allais vraiment pas souvent. mais ca veut pas dire qu il faut pas s impliquer.

Si on participe pas, on aura pas la chance de mettre ca "a notre main" ou en tout cas, le moins pire possible, si une fenetre de changement arrive un jour. je pense qu on a affaire une ville deconnectee et tres conservatrice, avec p-e 2 ou 3 bozos ayant bcp d influence qui trippent a faire les choses a leur maniere (powertrip, interets perso ou autres, ou simplement pression de qq riverains).


PS: je lis certains commentaires, pis j ai pas de mal a voir la ville ou un conseilleur poursuivre la ou les personnes en arriere du blog. meme si c est pas son commentaire. les villes sont tres bonnes a faire taire le monde quand elle se fait critiquer.
Il faut vraiment faire attention entre les faits et les causes ou les auteurs.

Ex: les bouees ne sont plus la. Mais il reste les blocs de beton. c est super dangereux. si mon kid se pete la tete en plongeant, c est sur que je poursuis les personnes qui ont mis/laisse les blocs.
vs:
"La ville préfère s’en laver les mains plutôt que de s’en occuper; c’est bien plus facile ainsi …
St-Stan a pris la décision de retirer les bouées sans même demander l’avis des gens."

ish.. la on prete des intentions, p-e que la ville peut prouver qu elle a pris l avis des gens (vote au conseil, le monde peut intervenir).

Je dis ca car je veux pas que les plus gros defenseurs de la baie et des loisirs nautiques soient baillones et arretent de s impliquer.

Désolé Yvente, mais je vais passer mon tour. les riverains coyaient que le Kite était un problème? Qu'ils fassent comme ils ont fait pour le kite... Oh ils ne peuvent pas?... Though it... Si ils ont besoin de nous, qu'ils nous ouvrent un accès, sinon je ne peux pas me battre pour tous les riverains de tous les lacs auxquels je n'ai pas accès. Le Lac Saint-François est maintenant un lac comme les autres...
Amicalement,
F.

Hihi, on va partir un spot-BnB... Chacun annonce le nombre de place pour kiteux justicier qu'ils ont. Il va meme y avoir un service Uber à partir de Montréal...

Pour votre information.. je sais que ça s'adresse surtout aux embarcations mais il y a dans cette article de la revue L'escale Nautique des choses qui nous touchent aussi ou peut nous concerner et démontre l'intérêt des ville.


L'Association des pêcheurs sportifs du Québec s’est rassemblé à Varennes le 4 juin dernier pour dénoncer les frais abusifs imposés par les municipalités pour la mise à l’eau des embarcations des plaisanciers et pêcheurs non-résidents. Un phénomène qui ne cesse de prendre de l’ampleur et dont le Québec semble vouloir se faire une spécialité. Varennes possède le triste record de la municipalité la plus chère pour la mise à l’eau d’une embarcation avec un tarif saisonnier de 600 $, sans possibilité d’achat de tarif journalier. À cet affligeant palmarès des abus, on retrouve Repentigny et l’arrondissement de Pointe-aux-Trembles (500 $), ainsi que Verchères et Contrecœur (300 $). La ville de Longueuil vient d’emboîter le pas en imposant des frais à l’île Charron, une descente gratuite jusqu’à l’an dernier. On facture la bagatelle de 30 $ par jour par véhicule avec remorque et 15 $ pour les autres véhicules. L’accès libre aux plans d’eau, un droit garanti à tous les citoyens par le gouvernement fédéral, se voit sévèrement entravé par l’attitude hostile des municipalités. Alors que nos voisins de l’Ontario et des États-Unis continuent d’offrir le service d’accès à l’eau toute à fait gratuitement, les municipalités québécoises semblent surtout se préoccuper de chasser hors de leur territoire les pêcheurs et plaisanciers non-résidents.

Cette politique mesquine cache également une volonté de privatisation des plans d’eau de la part des propriétaires riverains qui revendiquent un usage exclusif des voies navigables. Dans les municipalités de Saint-Adolphe-d'Howard, Saint-Hippolyte et Ivry-sur-le-Lac, pour n'en nommer que quelques-unes, on exige aux non-résidents respectivement 320 $, 300 $ et 500 $ par jour pour mettre son bateau à l’eau. Une ségrégation économique ouvertement hostile aux pêcheurs et plaisanciers qui ne résistera probablement pas au test des tribunaux. Il s’agit malheureusement de la dernière avenue qui permettrait de régler le problème de ces tarifications abusives devenues endémiques.

Le phénomène semble affecter de manières significative la pratique de la pêche sportive puisque le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs a vendu 50 000 permis de pêche de moins en 2015 qu’il ne l’avait fait l’année précédente.